Le 14 novembre, journée du coup de départ de GeekWeek arrive à grands pas! Encore une fois, plus de 200 spécialistes de la cybersécurité, des passionnés du domaine et des étudiants de partout dans le monde se rassembleront à Ottawa pour tenter de résoudre des problèmes de cybersécurité.
Cliquez ici pour consulter les thèmes des projets de cette année et replongeons-nous un instant dans les thèmes abordés l’année dernière...
Récapitulation
En 2018, 194 participants de plus de 70 organismes se sont rendus à Ottawa pour participer à GeekWeek. Des représentants de divers ministères et entreprises du secteur privé, ainsi que des équipes étrangères d’intervention en cas d’urgence informatique (CERT) de nos alliés ont travaillé pendant neuf jours sur 34 projets. Ils ont été en mesure de faire des percées considérables dans de nombreux domaines, dont la détection de maliciels, l’analyse du trafic des réseaux de zombies, les normes et les technologies de communication de l’information et la cyberstabilité. À la fin de l’événement, les participants ont présenté leurs projets aux autres participants de GeekWeek et à leurs homologues de leurs organisations respectives.
Le présent blogue vous présente maintenant quelques projets de l’année dernière ainsi qu’un bref suivi d’où ils en sont à l’heure actuelle.
Amélioration des Systèmes d’échanges d’information (SEI) pour permettre une collaboration quasi instantanée
Ce projet avait pour objectif de permettre aux partenaires d’accéder aux services disponibles, aux outils, aux cartes de pointage des organisations, aux résultats des évaluations et aux alertes à partir d’une ressource centrale. Ainsi les organismes responsables de la cybersécurité peuvent échanger de l’information plus rapidement que jamais avec leurs partenaires.
Faits saillants du projet
- Création d’un portail central et d’un catalogue Web de services, d’outils et de données fournis par le Centre pour la cybersécurité.
- Création d’une fonction dans le portail permettant aux partenaires de présenter des fichiers qui sont ensuite analysés automatiquement par les systèmes du Centre pour la cybersécurité; les partenaires reçoivent ensuite un rapport généré par ordinateur.
Où en est ce projet aujourd’hui?
Les fondations du projet ont été mises en place lors de GeekWeek et une équipe du Centre pour la cybersécurité travaille toujours sur ce projet.
Amélioration de l’analyse des maliciels pour identifier les auteurs de menaces et aider les organismes chargés de l’application de la loi
Ce projet avait pour objectif d’améliorer plusieurs éléments de l’analyse des maliciels afin d’identifier plus facilement les auteurs de cybermenaces. Les organismes canadiens chargés de l’application de la loi peuvent utiliser ces informations pour prévenir des cybermenaces de plus en plus complexes.
Faits saillants du projet
- Création d’une base de données pour l’analyse d’échantillons que peuvent s’échanger plusieurs organismes et que chacun enrichit avec ses données.
- On a su acquérir les capacités et connaissances nécessaires pour faire le suivi des réseaux de zombies et de leurs activités opérationnelles.
Où en est ce projet aujourd’hui?
L’équipe a communiqué ses résultats avec des organismes chargés de l’application de la loi qui continuent de perfectionner leurs processus de traitement des cas de maliciels.
Préparatifs visant à contrer les nouvelles menaces en déployant des pièges à pirates dans le nuage
Ce projet avait comme objectif de déployer des pièges à pirates dans le nuage afin de recueillir de l’information sur les nouvelles menaces. Ces informations aideront les organismes à affronter les nouvelles menaces et à s’assurer que leurs réseaux restent sécurisés.
Faits saillants du projet
- Déploiement de pièges à pirates très abordables sur les réseaux à l’aide de Raspberry Pi, ce qui permet la gestion à distance basée sur le Web des modifications des capacités des pièges à pirates.
- Déploiement de pièges à pirates à grande échelle dans le nuage, avec tableaux de bord pour afficher les connexions entrantes.
Où en est ce projet aujourd’hui?
Une équipe interne du Centre pour la cybersécurité continue de travailler sur ce projet.
Ressource supplémentaire
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